Animer vos formations au bénévolat d'accompagnement en soins palliatifs :
En tant qu'association de bénévolat en soins palliatifs, vous avez, conformément à la loi (*), toute légitimité à intervenir en complément des équipes soignantes sur tout terrain où des soins palliatifs sont pratiqués (USP, EMSP, EHPAD, domicile). Vous avez également la responsabilité d’assurer la qualité de l’accompagnement effectué par vos bénévoles.
C’est dans ce cadre que je vous propose de bâtir et d’animer vos formations à destination de vos bénévoles d’accompagnement. Titulaire du Diplôme Universitaire « Accompagnement et fin de vie » de L’Université Pierre et Marie Curie (Sorbonne Université), riche de mes expériences de bénévole d’accompagnement en unité de soins palliatifs et de ma pratique de psychologue, j’interviens principalement sur les thématiques de:
- la posture du bénévole d’accompagnement en soins palliatifs
- l’approfondissement du travail sur l’écoute
- l’accompagnement des proches et des familles
- la sensibilisation aux mécanismes du deuil
La mise au point de ces formations, aussi bien dans leur contenu que dans leur format, découle des besoins spécifiques de votre association et se fait en totale coordination avec vous.
Pour toute demande d’information, n’hésitez pas à me contacter via le formulaire ci-joint ou par téléphone au 06 71 77 26 55.
J’interviens prioritairement en région parisienne et en Nouvelle Aquitaine
(*) La circulaire du 19 février 2002 relative à l’organisation des soins palliatifs et de l’accompagnement, précise en détail les modalités d’application de la loi à savoir que « des bénévoles d'accompagnement, formés et bénéficiant d'une supervision des pratiques, interviennent en complémentarité avec ces équipes, dans le cadre de conventions conformes à l'annexe du décret n° 2000-1004 du 16 octobre 2000 ».
La circulaire du 25 mars 2008, toujours relative à l'organisation des soins palliatifs, caractérise le rôle des bénévoles d’accompagnement : « Ils proposent une présence, une écoute, dans la discrétion et le respect de l'altérité, le non jugement et le respect de l’intimité de la personne malade et de sa vie familiale. Du fait de la gratuité de leur engagement, ils témoignent au nom du corps social d’une attention à l’égard des personnes en souffrance, ce qui conforte un sentiment d’appartenance à la communauté humaine. Par leur regard, ils confirment la personne dans son identité et dans sa dignité… ».